OPA – Offre publique d’achat

l’entreprise qui veut acheter se constitue une somme suffisante de liquidités pour pouvoir intervenir immédiatement sur le marché.

- Etalon de mesure

La monnaie constitue un étalon de mesure de la valeur. Elle constitue l’unité commune qui permet de comparer la valeur de deux marchandises tout à fait différente.

b) Evolution des formes de monnaie

- La monnaie métallique

Au 19ième en Belgique, la monnaie est « privée », c’est-à-dire que différente émette de la monnaie. Mais, c’est une source d’insécurité potentielle. En effet, dès lors qu’une banque privée émettrice de monnaie fait faillite, tous les agents économiques qui détiennent cette monnaie sont lésés. Quand l’autorité publique s’affirme, elle s’octroie le monopole de frapper la monnaie « métallique ».

- La monnaie fiduciaire

On cherche à substituer la monnaie métallique, car celle-ci n’arrive plus à remplir ses fonctions. C’est le début du billet de banque.

Au départ, les orfèvres s’en charge. Celui-ci garde dans ses coffres l’or de ses clients à qui il donne un certain nombre de billets équivalent à l’or déposé. Si les marchands acceptent ces « billets » pour les transactions et que la confiance règne, tout va bien.

L’or constitue l’actif (richesse dont dispose l’orfèvre) tandis que les billets sont passifs (utilisation faites de cette richesse).

Mais là, le problème n’est toujours pas réglé. Donc l’orfèvre, observe que ses clients ne viennent pas rechercher tout de suite leur or. Il peut donc émettre, prudemment, plus de billets que l’équivalent de l’or présent dans le coffre. Ainsi, il augmente la présence monétaire circulant sur le marché afin de répondre à la demande monétaire issue d’une croissance des transactions. Ainsi, l’orfèvre commence les prêts.

Apparition des Banque : 1668 – Suède, 1694 – Angleterre, 1852 – Belgique, etc.

- La monnaie scripturale

Le principe précédent consiste donc à changer l’or contre des billets. Le banquier moderne, lui, métamorphose la monnaie fiduciaire en monnaie scripturale.