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Propriétés générales des gaz

· l’état gazeux est un état de la matière tel qu’il y a un remplissage uniforme de tout le volume disponible, de tout le récipient

· ils se mélangent complètement avec tout autre gaz

· au 17ème, on a découvert que les gaz exercent une pression sur les parois du récipient.

Une pression est une force et ceci remonte à TORRICELLI (1643). Il avait conclu de son expérience que les gaz appuient sur le mercure, ce qui le fait monter dans le tube. C’est le 1er à avoir inventé un baromètre.

P = [N/m² => Pa]
1 atm = 101 325 Pa = 760 Torr
1 bar = 105 Pa

OTTO VONGUERICKE (1654) fait l’expérience d’une sphère métallique où il va faire le vide. Il va vouloir faire tirer cette sphère par des chevaux pour la casser mais cela ne sera pas possible car la sphère vide subit une pression atmosphérique, qui est
plus faible que la pression des chevaux.

Pour l’expérience de Torricelli avec le cylindre :

P = F / A = mg / A = ρ.Vg / A ρ = m/v (masse volumique)
V = A.h
P = ρ.A.h.g / A => P = ρ.g.h

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Composés binaires ioniques de type I

Les composés binaires ioniques contiennent un ion positif (cation), toujours écrit le premier dans la formule chimique, et un ion négatif (anion). Pour nommer ces composés, les règles suivantes s’appliquent :

a) L’anion est toujours nommé en premier et le cation en second

b) Un cation monoatomique (d’un seul atome) a le même nom que son élément. Par exemple, Na+ est appelé sodium dans les composés contenant cet ion

c) Un anion monoatomique est nommé en prenant la première partie du nom de l’élément et en rajoutant le suffixe -ure (sauf si c’est de l’oxygène, auquel cas le suffixe est -ide). Donc l’ion Cl- est appelé chlorure.

Le NaCl est donc le chlorure de sodium. Inversément le bromure de césium a pour formule chimique : CsBr

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Historique

Historiquement, la chimie commence déjà à la Préhistoire. En effet, à l’ère du fer et du bronze apparaissent les premiers haut-fourneau (en Afrique de l’Est). En Egypte, la chimie est liée à un engouement pour l’or. Etant donné que cet élément ne s’oxyde pas facilement, on l’associait à la jeunesse éternelle des pharaons. Il faudra attendre l’époque gréco-romaine pour voir le début de la « science intelligente » et des travaux en chimie. En effet, les grecs vont rationaliser la nature à 4 éléments (eau, terre, feu et air) et vont émettre l’idée d’atome.

Au Moyen –Age, les alchimistes se sont lancés à la recherche de la pierre philosophale (transforme le plomb en or) et de la fontaine de jouvence.

Quelque soit leur civilisation, les hommes ont toujours été intéressés par le moyen d’améliorer leurs conditions de vie.

A la Renaissance, les scientifiques créent la « méthode scientifique » (figure I) à savoir un ensemble de canons guidant ou devant guider le processus de production des connaissances scientifiques. Il se déroule en plusieurs étapes :

a) Observations (qui sont objectives)

  • On laisse son regard se poser sur un phénomène · Observation qualitative
  • Observation quantitative (tentative de quantification du phénomène)


b) Formulation d’hypothèse : On cherche une explication possible au phénomène

c) Mise au point d’une expérience. Celle-ci nous donnera de nouvelles informations qui confirmeront ou infirmeront l’hypothèse.

A long terme, on peut tirer des conclusions qui donneront

  • Une théorie (modèle) : un ensemble d’hypothèses testées qui donne une explication globale d’un phénomène naturel
  • Une loi naturelle c’est-à-dire la même observation qui s’applique à différents systèmes


Ex : La loi des gaz parfait

Il est important de bien distinguer loi et théorie

Une loi résume (décrit) se qui se passe mais ne l’explique pas. Elle répond à la question Comment ça se passe ? Une théorie est une tentative d’explication. Elle répond à la question Pourquoi ça se passe ?

Il est intéressant de préciser qu’une théorie évolue. Lorsque la science se perfectionne, les théories s’améliorent.

Au XVIIe siècle, Boyle fut le premier chimiste à faire des expériences quantitatives. Il tirera de ces résultats une loi: P1 V1 = P2 V2 qui s’applique aux gaz (cfr. Ch IV)

Au XVIIIe siècle, Stahl découvrit que lors d’une combustion un gaz s’échappe. Il baptisa ce gaz

« Phlogistique » (= CO2). Un peu plus tard, Priestley découvrit qu’il faut un autre gaz pour qu’une combustion ait lieu. Il baptisa ce gaz « air Déphlogistique » (= O2).

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Son orientation actuelle et ses perspectives

La psychologie du travail étudie les répercussions des transformations économiques sur les individus qui la subissent mais aussi sur des catégories d'individus (ex : l'insertion des jeunes, des personnes handicapées, le retour des femmes au travail, le passage à la retraite,...). Il ne s'agit pas d'étudier l'individu isolé mais de considérer sa conduite dans un système : veut dire que l'individu est considéré comme actif dans une situation qui lui préexiste. Il n'est pas seulement considéré comme une ressource dans laquelle on puise mais comme une ressource avec et sur laquelle on peut et on doit compter. Par leurs activités, la perception qu'ils ont de leur environnement, les représentations qu'ils se font des objectifs, des missions, les travailleurs façonnent, fabriquent l'organisation à laquelle ils appartiennent : on adhère de plus en plus à une vision constructiviste dans la mesure où c'est une construction permanente a partir des multiples interactions qui s'y développe. C'est cette construction permanente qui va contribuer à la culture organisationnelle. Toutes les dimensions psychologiques sont convoquées dans la mesure où elles renvoient aux dimensions physiologiques, cognitives, conatives,... Niveaux imbriqués et qui vont s'actualiser dans un contexte dynamique. Perspective qui entrevoit le travail comme un lieu de contraintes et de réalisations non seulement dans l'exercice d'une activité mais a l'occasion d'un choix professionnel, a l'occasion d'une orientation, d'un insertion, avec ce que ça représente en terme d'estime de soi et de rapports sociaux. Défi pour les organisations de répondre a ce nouveau positionnement de l'individu au sein du système avec pour l'organisation, de nouvelles formes de pouvoir et d'autorité face a un travail qui se diversifie et qui ouvre des zones d'autonomie avec des questions sur la gestion du changement, sur l'engagement,...

Question qui reste toujours en suspens : cette nouvelle conception du travail n'est-elle pas idéalisée ?

La communication est un élément essentiel qui fait valoir son importance grandissante dans les organisations où on voit une participation accrue des équipes de travail. Quelles sont les répercussions sur les individus ? Questions sur ces nouvelles formes coopératives de travail. Regard commun sur les choses, convergence d'analyse, intention commune, volonté d'action partagée dans des rapports de complémentarité et de pouvoir avec une circulation de l'information qui ne sera pas considérée comme un outil de pouvoir mais qui sera partagée pour la construction d'une identité interne qui permet aux individus de se différencier et qui permet a l'organisation de mieux s'ouvrir sur l'extérieur (être performant, plus rentable,...).

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