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Economie réelle et économie monétaire : IS et LM

A l’intersection de IS et LM, on a un équilibre général (E) entre marché réel et marché monétaire. On voit graphiquement que : -IS constant, si on accroît M, LM glisse vers la droite : baisse du taux d’intérêt, accroissement de Y.

-LM constant, la propension à épargner diminue, IS glisse vers la droite : à un même taux d’intérêt correspond un niveau de Y plus élevé.

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Economie monétaire : LM

QI : relation entre MT et ML (la droite sur le graphique est égale à M). QII : relation entre R et ML. QIII : relation entre Y et MT.

On utilise la même manipulation que dans le modèle IS : à un niveau de R correspond un ML, qui donne un MT qui donne un Y. Aux coordonnées du point obtenu, on a l’équilibre du marché monétaire.

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Economie réelle : IS

Dans l’optique des dépenses : Y = C + G + I + (X-M) On suppose que l’action de l’Etat est assimilable à celle des ménages : G=0, dépenses de l’Etat dans C. On fait abstraction du commerce international -> Y = C + I On a défini l’épargne (S) comme la partie non consommée du revenu : le revenu se science en deux : Y = C + S

Et ainsi : I = S (bissectrice sur le graphique) Simplifions maintenant la fonction de consommation : C = cY. On obtient : S = (1-c).Y Dans le graphique, on remplace le taux d’intérêt nominal (i) par le taux réel (R). En mettant toutes les relations vues dans un graphique, on obtient le modèle IS5, composé de 4 quadrants : -QI : en dessous à gauche, c’est la relation entre I et S (c’est la bissectrice).

-QII : en haut à gauche, les investissements en fonction de R. -QIII : en dessous à droite, relation entre S et Y.

On part d’un certain I, qui nous donne un certain R (ordonnée du QIV). Ce I nous donne un S, qui lui nous donne un Y, abscisse du QIV -> on a le point A (R1, Y1). On refait la même manipulation pour obtenir un point

B. En joignant tous ces points, on obtient la courbe IS. Signification de A : équilibre sur le marché réel. La courbe IS descend de gauche à droite -> la production est fonction décroissante du taux d’intérêt.

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BCE indépendante

nécessaire pour éviter les influences gouvernementales et maintenir l’objectif de lutte contre l’inflation. Mais : les agences indépendantes ne sont pas contrôlées par les instances élues démocratiquement + agences indépendantes mettent en oeuvre la politique des milieux dirigeants.

Instruments : contrôle de la croissance de M (M3), open market (opérations fermes, certificats de dette,…), facilités permanentes (prêteur en dernier ressort), réserves obligatoires…

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Les missions

définir et mettre en oeuvre la politique monétaire de la zone euro, conduire les opérations de change, détenir et gérer les réserves officielles de change des Etats membres, promouvoir le bon fonctionnement des systèmes de paiement. Eurozone : 17 Etats membres.

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La Banque centrale européenne et l’eurosystème

Organisation : le Système européen de BC (SEBC) se compose de la BCE et des banques centrales nationales des 27 membres. « Eurosystème » désigne la BCE et les BCN des 17 Etats ayant l’€. Objectif principal = maintenir la stabilité des prix. Il y a centralisation de la décision, décentralisation opérationnelle.

La BCE est dirigée par le Conseil des gouverneurs (arrête les orientations et prend les décisions nécessaires à l’accomplissement des missions, définit la politique monétaire de l’eurozone).

Il y a le directoire (président, vice-président et 4 autres membres ; met en oeuvre la politique monétaire, exerce les pouvoirs délégués par le Conseil). Enfin le Conseil général.

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