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La balance commerciale

mesure la différence entre les exportations X et les importations M de biens et services.

- Quand X > M, on parle de solde positif de la b.c

- Quand X< M, on parle de solde déficitaire La balance des opérations courantes : représente les opérations de la balance commerciale ajoutée aux opérations de transferts et de mouvement de revenus.

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Conclusions

Les courbes IS –LM constituent une belle construction qui se fonde que d’innombrables hypothèses simplificatrices qui posent des questions théoriques :

- Problèmes relatifs à I I = I(h) + I(e) + I (g) I(h) et I(e) sont en relation avec R tandis que I(g) est indépendant de R.

- Problèmes relatifs à C C est fonction de Y, donc C = cY est une simplification

- Problèmes relatifs à M(t) et M(l) -> fatigué

- Utilité de IS-LM

IS-LM permet de mettre en lumière l’interdépendance de la sphère réelle et de la sphère monétaire. Dans ce chapitre nous avons considéré une économie fermée, c’est-à-dire que l’on a pas pris en compte les relations économiques internationales.

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Economie réelle et économie monétaire : IS et LM

Graphe 80 – représentation du point d’équilibre entre IS-marché réel et LM- marché monétaire · Graphe 81 : accroissement de la masse monétaire M Quand la masse monétaire augmente, les points de coordonnées de M(l) et de M(t) augmentent aussi. Donc la droite se décale vers le haut.

Un accroissement de la masse monétaire entraîne donc un déplacement vers le bas de la courbe LM (voir graphe 82) soit une baisse de R et une augmen tation de Y.

· Graphe 83 : modification de la propension à épargner

En supposant que LM est sable, si la propension à consommer augmente, la propension à épargner va diminuer ce qui entraîne un déplacement de la droite SY vers y. Donc à un niveau Y plus élevé. · Graphe 84 – déplacement de IS

En supposant que LM est stable, un déplacement de IS vers le haut avec un R et un Y plus élevé signifie que les ménages décident de consommer plus (c augmente) et d’épargner (s diminue) moins. Cela parce que la sécurité sociale croît ou parce que l’épargne pour les besoins de santé, l’éducation ou la retraite décroit.

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Crise de la politique keynésienne en stagflation

Il s’agit d’une combinaison de stagnation et d’inflation. En récession normale, une augmentation de 1% de l’inflation permet de diminuer le chômage de 2% (courbe de Phillips) alors qu’en stagflation, cette augmentation ne diminue plus le chômage que de 0.5%. La courbe se déplace donc vers le haut et vers la gauche, elle devient plus inélastique, plus verticale.

Avec une politique keynésienne dans ce cas de stagflation, tirer l’économie vers le haut avec une demande croissante risque de provoquer des effets négatifs sur l’inflation.

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Action sur la consommation publique (G)

Budgets cycliques : en dépression, deficit spending (G > T) et en situation de boom, épargne positive (G < T) mais un déficit structurel représente un risque pour la maniabilité des finances.

-> Quand les cycles sont « classiques », une politique keynésienne (fondamentalement conjoncturelle) est concevable. Mais en cas de dépression, elle se heurte aux contraintes traditionnelles. Quand les déséquilibres sont structurels, il faut l’accompagner de mesures plus ciblées.

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