Homogénéité des produits
- Publié dans Economie
Il n’y a concurrence qu’entre produits similaires. Devises : homogénéité totale. Produits manufacturés : souvent, suffisamment homogènes que pour entrer en concurrence.
Il n’y a concurrence qu’entre produits similaires. Devises : homogénéité totale. Produits manufacturés : souvent, suffisamment homogènes que pour entrer en concurrence.
Offre : formes de concentration diminuent le nombre d’offreurs. Cartel : entreprises d’une même branche industrielle se mettent d’accord, limitent l’indépendance des offreurs et souvent génèrent une hausse de prix.
Trust : entreprises d’une même branche gardent leur personnalité juridique mais sous contrôle d’une seule entreprise (mêmes conséquences que le cartel). Holding : une société a dans ses actifs des participations dans d’autres entreprises.
Demande : grandes entreprises de distribution : quelques grandes centrales d’achat imposent un prix d’achat faible à leurs fournisseurs. Parfois sur le marché du travail, on ne retrouve qu’un seul gros demandeur.
Nombre élevé d’acheteurs et vendeurs + partenaires indépendants + en faisant varier l’offre/demande individuelle, l’un n’exerce aucune influence sur l’offre/demande globale. Dans ce cas, l’entreprise est « price-taker » (pas d’influence sur les prix).
1e hypothèse : offre et demande = confrontation de prétentions des acheteurs et vendeurs, intentions 2e hypothèse : on considère qu’il y a de nombreux vendeurs et de nombreux acheteurs, chacun avec ses intentions puis il y a négociation, le prix d’équilibre est le compromis.
Quantités demandées > quantités offertes -> entreprises augmentent les prix, baisse de la demande et on se rapproche de E.
Quantités offertes plus grandes que les quantités demandées. La différence gonfle les stocks d’invendus, qui ont un coût réel et un coût financier -> entreprises diminuent leur prix de vente, demande augmente et on se rapproche de E.
Quand la situation d’équilibre est atteinte, elle reste stable quand les paramètres restent inchangés.
L’équilibre est atteint à l’intersection de la courbe d’offre et de la courbe de demande (PE).
Choc d’offre = brusque changement de l’offre d’un produit sur le marché. La courbe se déplace vers la gauche ; exemple en 1990 avec le pétrole, bien dont la demande est très inélastique.
Les prix subissent une hausse brutale (le principal choc d’offre = 1973, OPEP diminue l’offre : prix x4).
Si CM diminue, l’offre augmente. Globalement, amélioration des conditions de l’offre, baisse du prix des matières premières,… -> déplacement de la courbe vers la droite. Il faut faire la différence entre déplacement de la courbe d’offre et mouvements le long de la courbe.
Court terme : l’entreprise ne peut pas varier ses techniques de production : coût moyen constant. Sur le long terme, tout peut changer et notre hypothèse peut être fausse.
D’abord, les coûts moyens sont décroissants et puis ils croissent à nouveau.
Economies d’échelle : les coûts moyens décroissent. Accroissement du travail, spécialisation (production d’épingles, Smith) ; s’il y a coûts fixes (ne varient pas selon le montant de la production) ou coûts variables : si la production croît, coûts fixes par unité produite diminuent, CM aussi.
Déséconomies d’échelle : coûts moyens croissent. Bureaucratisation : son coût pèse sur les CM.