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Filtrer les éléments par date : juin 2014

L’offre et les prix

Le but du producteur est évidemment d’accroître ses profits : on suppose qu’il est prêt à mettre sur le marché d’autant plus de quantités que leur prix est élevé.

Les bénéfices (recettes totales – coûts totaux) sont fonction du prix, quand CM0 est constant (coût moyen : CT/q). On a : Les quantités offertes de i sont fonctions positives du prix -> la pente de la courbe O est positive.

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Elasticité croisée et élasticité-revenu

Si i et j sont substituts, η > 0. Si i et j sont complémentaires, η < 0. L’élasticité croisée mesure les variations des quantités d’un facteur induit par une variation de prix d’un autre facteur de production.

Quand y augmente, la quantité augmente : η > 0. Mais parfois, y augmente et Q baisse : η < 0.

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Déterminants

Nature des biens : biens très nécessaires ou de très grand luxe = inélastiques. B&S de semi-luxe, élasticité importante.

Part du revenu consacrée au bien : plus elle est faible, plus la demande est inélastique (les recettes de l’Etat augmentent quand la demande est inélastique).

Existence de substituts et biens complémentaires : cependant les habitudes de consommation sont plus importantes que les « bons » substituts ; plus la catégorie est large, plus d = inélastique.

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Elasticité de la demande

Si le pi augmente, les quantités demandées diminuent. Mais quelle est l’incidence d’une diminution relative des prix (ΔP/P) sur les quantités supplémentaires demandées (ΔQ) ?

-> Caractéristiques générales

C’est généralement en valeur absolue. Pour connaître l’élasticité à partir du graphique, on trace la tangente à la courbe (tgα = ΔP/ΔQ ; la tangente donne la pente de la droite). Cinq cas : -Demande élastique : η > 1

-Demande inélastique : η < 1

-Elasticité unitaire : η = 1

-Demande parfaitement inélastique : η = 0

-Demande parfaitement élastique : η = ∞

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Déplacement de la courbe de demande

Quand pi varie, on se déplace sur la courbe D. Si un autre élément varie, la courbe D se déplace. Si Yh, U, p(substitut) augmentent : D se déplace vers la droite et vers le haut.

Si p(complémentaire) augmente, D se déplace vers la gauche et vers le bas.

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Les variables

On ne tiendra compte que de deux variables : les quantités demandées de i et le prix de i. On fait l’hypothèse que les autres paramètres ne varient pas.

La courbe de demande a une pente négative. Notons que quand l’utilité marginale est élevée, le consommateur accepte de payer un prix élevé. Mais la courbe de demande ne se vérifie pas toujours.

Effet Veblen : « consommation ostentatoire » : la demande des biens de grand luxe augmente que leur prix augmente (Russie,…) Effet Giffen : famine irlandaise, la demande de pommes de terre augmentait quand le prix augmentait : comme les familles n’avaient plus les moyens de s’acheter de la viande ou des légumes, ils dépensaient plus en pommes de terre.

Effet Duesenberry : certaines classes sociales ont un rôle d’avant-garde dans la demande de certains biens puis les classes sociales moins aisées les imitent (la demande est socialement déterminée).

Effet Galbraith : « L’ère de l’opulence » : « effet de dépendance », le producteur façonne la demande avec la publicité, crée artificiellement de nouveaux besoins.

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Utilité (U)

Fin 19e, on établit une relation entre la demande et l’utilité marginale (procurée par une unité supplémentaire).

Exemple de l’homme assoiffé : plus il achète de verres d’eau, moins grande sera leur utilité marginale. Mais les marginalistes ont une vision abstraite de l’homme, non généralisable. On voit qu’en pratique : U = f(Q) et ΔQ1 = ΔQ2 mais ΔU1 > ΔU2

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Le taux d’intérêt (r)

Il symbolise l’ensemble des conditions de crédit et plus précisément les conditions du crédit à la consommation. Il y a le terme (délai de remboursement), la partie cash (une part de la valeur du bien est payée immédiatement) et le taux d’intérêt (si le crédit augmente, la demande se contracte).

Quand les autorités ont le pouvoir de modifier ces éléments, elles peuvent influencer la consommation.

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Les prix des autres biens (p1 à pn)

Biens de substitution = +- la même valeur d’usage que i (margarine/beurre,…). Si le prix du bien 1 augmente, la quantité du bien i augmente.

Biens complémentaires = valeur d’usage se complète (voiture/essence,…). Si le prix du bien 2 augmente, la demande du bien i diminue.

Dans la plupart des cas, i et les autres biens sont indépendants : une modification de l’un n’influe pas sur la demande de l’autre. Mais si beaucoup de biens varient en même temps, cela peut influer à terme sur i (c’est l’effet revenu).

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