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Filtrer les éléments par date : juin 2014

Inflation « auto-entretenue »

Spirale inflationniste : pull-inflation : Δp1 augmente les salaires -> nouvelle augmentation des prix, etc : on appelle aussi cela l’effet « pull-push ».

Anticipations inflationnistes : les agents économiques prévoient parfois des hausses de prix et adaptent leurs comportements ; en faisant cela, ils accélèrent l’inflation ! Ce phénomène suppose l’existence d’un taux d’inflation initialement important (exemple : chocs pétroliers).

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Le Conseil des gouverneurs (CdG)

est l’instance suprême de la BCE, il est composé de 12 gouverneurs des BCN qui sont dans l’euro et de 6 membres du Directoire. Chaque membre a une voix et les décisions sont prises à la majorité simple. Détermine en toute autonomie la politique monétaire de la BCE.

Le Directoire : ses membres sont de ressortissants d’Etat de la zone euro, ils sont tous nommés par les gouvernements des pays de la zone euro après consultation du PE et du CdG de la BCE. Il exécute la politique monétaire établit par le CdG.

Le Conseil général (CG) : est composé des gouverneurs des 25 BCN et du président et vice du Directoire. Il permet seulement l’organisation de la collaboration entre les 12 (zone euro) et les 13 (hors zone euro)

- La question de l’indépendance des banques centrales

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Push-inflation

Inflation par les coûts : les coûts poussent les prix vers le haut : coûts énergétiques (baril  prix à la pompe), coûts des matières premières et produits agricoles (inflation importée), coût salarial, coût du crédit.

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Pull-inflation

Inflation par la demande : la demande tire les prix vers le haut (demande finale : C+G+I+(X-M)), quand l’offre ne suit pas et que K et L ne peuvent pas varier. On a un écart inflationniste -> NAIRU : taux de chômage non inflationniste : en dessous de ce taux, toute relance entraînerait de l’inflation.

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Le chômage dit « naturel »

Pensée néoclassique : le chômage est volontaire : le « désir de travailler » est considéré comme le résultat d’un choix entre le travail et les loisirs.

(Deux courbes : Labour demand/Labour supply) Même si on cite la pensée néoclassique, il faut bien réaliser que c’est une énormité sociale. Pour eux, les salaires baissent -> la compétitivité de l’économie croît -> emploi augmente ; il n’y a aucune vérification empirique ; ne tient pas compte du salaire comme revenu mais comme un coût.

La responsabilité du chômage est imputée aux travailleurs.

Les hypothèses de départ ne tiennent pas la route sur le plan théorique.

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Le chômage structurel

Par exemple, lié à des structures industrielles vieillies (bassins miniers,…) Avant 1975, le tertiaire absorbait l’excédent de main-d’oeuvre éjecté par les autres branches économiques mais depuis, ce secteur est aussi en perte de vitesse.

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Le chômage conjoncturel

On voit graphiquement que l’économie évolue de manière cyclique. Le plein-emploi n’est jamais absolu ; il y a toujours un chômage frictionnel dû au délai entre la perte du travail et le nouveau travail.

Dans tous les cas, plein emploi et croissance économique sont des objectifs complémentaires.

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Le Bureau fédéral du Plan

Il fait des études et des prévisions pour un développement durable ; il rassemble et analyse des données, regarde les évolutions possibles en formulant des propositions pour le Gvt, le Plt,…

On cherche à préparer un avenir « possible et réaliste » de l’économie et souligner les déséquilibres.

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Instruments de politique économique

Les pouvoirs publics ont des outils qui leur permettent d’influencer les résultats économiques : instruments budgétaires, fiscaux et monétaires + instruments microéconomiques. Il faut une connaissance des mécanismes économiques -> théories et vérifications empiriques.

Il y a cependant toujours des incertitudes liées aux mécanismes budgétaires et monétaires (intensité, ajustements, modèles partiels…)

On retrouve deux conceptions opposées dans les années 80 : Friedman, monétariste, estime que les incertitudes et anticipations des agents sont telles que la politique économique est inefficace ; Modigliani estime lui que la connaissance qui est dans les modèles macroéconométriques permet d’adopter des politiques macroéconomiques qui font des ajustements précis des variables.

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