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Filtrer les éléments par date : juin 2014

Autres objectifs

On cherche aussi à distribuer correctement les revenus, à satisfaire aux besoins collectifs, à régler les disparités régionales et à assurer une croissance durable.

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Le théorème Hecksher – Ohlin – Samuelson-

Le pays a un avantage comparatif dans les productions pour lesquelles son facteur de production est abondant. Il va donc se spécialiser dans le facteur de production abondant, à vil prix.

Cependant le raisonnement est mécaniste et fait abstraction de certains éléments : -Le rôle des Etats est passé sous silence -L’immobilité des facteurs de production à l’international est fausse aujourd’hui -L’abondance et la rareté des facteurs travail et capital ne sont pas les seuls facteurs : il faut prendre en compte la qualification du facteur travail et la capacité innovatrice d’un pays/firme. Paradoxe de Leontiev : les exportations américaines sont moins intensives en capital que leurs importations, même si les X contiennent plus de travail qualifié et une plus grande proportion d’ingénieurs et de scientifiques. Ricardo serait donc plus proche de la réalité que le théorème HOS.

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Le théorème Hecksher – Ohlin – Samuelson

Ricardo parlait de « labour theory of value » qui fondait l’échange sur l’unique facteur travail. Le théorème HOS introduit le facteur capital qu’on peut interpréter au sens large.

Supposons le pays I et le pays II, et les biens acier et blé. Acier = capital intensive -> K élevé (pays I). Blé = labour intensive -> K faible (pays II).

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John Stuart Mill (1806-1873)

Il met l’accent sur le bénéfice du consommateur dans les échanges internationaux. La valeur internationale des biens échangés est fonction de l’offre et de la demande.

La demande d’un pays pour une marchandise donnée est fonction de son prix -> Mill introduit la notion d’élasticité.

Effet revenu (le prix baisse : les consommateurs consomment d’autres articles). Concepts : -Valeur internationale – O&D

-Demande – élasticité de la demande – effet revenu -Relations internationales et effet positif sur le consommateur

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Friedrich List (1789-1846)

Il n’accepte le libéralisme que quand les nations ont approximativement atteint le même développement économique. Il faut donc un protectionnisme temporaire (et partiel) pour protéger les « industries-enfant » des nations moins développées.

Sa stratégie de développement repose sur deux notions majeures : les forces productives et les nations.

Forces productives = ressources naturelles, facteur travail, facteurs liés à l’organisation sociale.

Mais le développement de ces forces productives n’est pas envisageable sans le cadre d’une nation. Il faut un système productif national, où les branches particulières de l’industrie sont solidaires. Pour List, « la protection douanière est notre voie, le libre-échange est notre but ».

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La signification profonde de la conception ricardienne des échanges internationaux

Le libre-échange sur le plan international est un maillon du système économique global. A long terme, si le taux de profit des entreprises manufacturières croît, leurs investissements (et donc la croissance économique) sont stimulés.

Là-dedans, le commerce international peut remonter le taux de profit industriel : l’augmentation des importations de céréales (exemple de l’Angleterre) fait baisser les prix des céréales et donc les salaires. Aussi, les M de produits manufacturés entraînent des économies d’échelle dans les entreprises étrangères productrices de produits manufacturés -> baisse le coût et le prix.

Cependant, avec ce système de spécialisation par branche, l’industrialisation du tiers-monde est freinée.

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Loi des « coûts comparatifs »

Ricardo emprunte plusieurs concepts à Smith, entre autres que la valeur d’une marchandise s’établit par le nombre d’heures de travail qu’elle incorpore. Exemple de l’Angleterre et du Portugal avec le vin et le drap  la loi de la valeur ne vaut que sur le marché national. « Le principe qui règle la valeur relative des choses dans un pays, ne règle pas celle des articles échangés entre deux pays ». Au final, avec la loi des « coûts comparatifs », les deux pays gagnent à l’échange (chacun importe ce qu’il aurait obtenu dans son pays en payant plus). Ricardo établit trois ensembles d’hypothèses :

-Il y a mobilité des facteurs de production sur le plan national mais pas à l’international.

-Les valeurs des marchandises sont proportionnelles au nombre d’heures de travail qu’elles incorporent et cette loi ne se vérifie que sur le plan national

-Les rendements sont constants

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Adam Smith (De la richesse des Nations, 1776)

Il réfute les thèses mercantilistes et défend « l’avantage absolu » : le pays étranger produit à un coût inférieur. « Une allocation des ressources (facteurs capital & travail) plus efficiente et la possibilité de minimiser les coûts par le commerce international », c’est ce que prône Smith. On suppose ici la mobilité des facteurs de production sur le plan national. Smith prône aussi la division internationale du travail, qui permet l’extension du marché et favorise la croissance économique. Deux arguments :

-Smith postule qu’un pays exporte des excédents, des biens qui ne trouvent pas de débouchés sur le marché intérieur

-Le commerce international permet aussi les « transferts de technologie » Smith défend le libre-échange au niveau international aussi (division du travail, extension du marché, économies d’échelle,…). Il a une philosophie individualiste et libérale (école classique).

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