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La « planche à billets »

permet de financer un déficit public, mais en tout dernier recours. En effet, la BC ne prête à un Etat en déficit qu’en tout dernier ressort, c’est-à-dire quand la capacité d’absorption du marché a atteint sa limite. Cependant de telles pratiques sont inflationnistes. (Exemple de l’Allemagne après la WWII) 2. La Banque centrale européenne (BCE) et l’euro système a. Aspects institutionnels

- Le système européen des banques centrales et l’euro système SEBC : système européen des banques centrales BCE - Banque centrale européenne : prend les décisions en matière de politique monétaire à

Francfort. BCN - banques centrales nationales : recueillent les informations statistiques et financières des banques et intermédiaires financiers de leurs pays et les transmettent à la BCE. Elles exercent le contrôle prudentiel des banques, c’est-à-dire qu’elles vérifient les bilans et les comptes de résultats des banques, contrôlent leur opérations et vérifient si elles se conforment aux décisions des autorités monétaires. C’est aussi le trésorier de l’administration publique : encaisser les recettes de

l’Etat et effectuer les dépenses. - Les organes de décision de la BCE

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Les mercantilistes (du XVe et XVIIIe siècle)

Malgré le fait qu’à l’époque, les notions sont confuses, on retrouve un fil conducteur dans les écrits : la finalité de l’économie est de s’approprier l’or et l’argent par l’intermédiaire du commerce international. Il faut avoir un solde positif de la balance des opérations courantes.

Pour cela, on prend des mesures comme la diminution des importations de produits manufacturés (coûteux) et l’augmentation des exportations de produits manufacturés. Il faut aussi interdire toute sortie de métaux précieux. On utilise aussi les droits de douane et les contingentements à l’importation (exemple d’une telle politique : colbertisme).

Le protectionnisme doit avoir des conséquences positives sur l’économie nationale et sur l’emploi. Le problème dans la pratique, c’est que si tout le monde applique cette politique, tout le monde y perd.

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Dévaluation-réévaluation

Changement de la parité : BOC = pX.X – pm.M X est fonction de Y* et du taux de change effectif ; M est fonction de Y et du TCE ; pm dépend du TCE. Donc le taux de change effectif influence la BOC selon trois canaux : -ΔX>0 : dévaluation entraîne une diminution du prix des exportations exprimés en devises étrangères.

-ΔM<0 : dévaluation entraîne augmentation du prix des importations (en monnaie nationale) -Δpm>0 : pm.M augmente donc la facture des importations augmente.

Conditions de Marschall-Lerner : conjugaison de l’effet prix et l’effet quantité. Quand la BOC est à l’équilibre, les conditions pour qu’une dévaluation amène à une BOC au moins à l’équilibre sont : ηX + ηm > 1.

Courbe en J : l’effet des prix en coût des importations est immédiat ; arrive plus tard un effet volume des importations, puis un effet volume des exportations.

2e phase de dévaluation : Δpm>0 -> Δp>0 -> inflation. Les prix à l’exportation augmentent, et les exportations diminuent. Il faut des mesures d’accompagnement (politique déflatoire : contraction de Y, contraction de M).

Taux de change fixe et flottant : avantages taux flottants = autorégulation -> appréciation entraîne une diminution des X, augmentation des M + réserves de change limitées. Inconvénients = cours de change bas défavorise l’X de K, incertitude des coûts, couverture de change coûteuse, spéculation.

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Les opérations de cessions temporaires d’actifs,

c’est opérations sont équivalentes à un prêt que fait la BC à une Bc – la BC prend, à prix d’achat, un bon de Trésor en pension pendant 1 semaine, après elle rétrocède l’actif à la Bc à un prix de rachat – plus élevé- équivalent au montant des intérêts dus pendant une semaine.

- Gestion des réserves de change et régulation du marché des changes

Le change correspond à un « échanges » de devises contre des euros, par exemple, et inversement entre une Bc et un particulier (touriste, importateur) et inversement. Les Bc ne veulent pas avoir de positions en devises trop importante alors que la BC a des réserves importantes de devises. Dans le cas du touriste non européen, la Bc achète les devises au touriste et les vend contre des euros à la BC. Dans le cas de l’importateur européen, la Bc achète des devises à la BC avant de les lui vendre.

La BC peut intervenir volontairement sur le marché des changes pour procéder à une dévaluation afin de rendre les biens et services du pays plus compétitifs. (voir exemple du yen – note du prof) La BC peut se voir obliger d’intervenir sur le marché des changes si elle doit respecter une parité fixe. (Exemple de l’Europe avant l’euro).

- Banquier du Trésor

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Système de parités fixes

L’Etat est obligé de maintenir sa monnaie dans le tunnel. La BC est chargée d’intervenir. Elle rachète sa monnaie sur le marché monétaire si elle est menacée ; elle la vend si elle est surévaluée par rapport à une autre monnaie du système. Pour dévaluer : politique monétaire restrictive (X augmente) ou politique déflatoire (M diminue).

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Taux de change flottants

Exemple de l’importateur européen de soja et de l’exportateur américain (qui lui importe des tapis) -> On trouve un équilibre entre les devises. Quand la demande mondiale de l’ensemble des productions d’un pays croît, le cours de sa monnaie a tendance à augmenter.

Un taux d’inflation qui est plus élevé dans un pays que dans le reste du monde déprécie la monnaie du pays. On postule ici qu’aucun autre facteur que les exportations et importations n’influence les taux.

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L’effet « prix »

BOC excédentaire : ΔX > 0. Les prix intérieurs augmentent et donc les prix de la marchandise exportée aussi. Les quantités exportées diminuent, le surplus se résorbe.

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Coefficient de trésorerie

c’est le pourcentage des dépôts que les banques doivent garder sous formes de liquidité. Il détermine la quantité de crédit que les banques peuvent dispenser.  Si le coefficient de trésorerie diminue, les banques doivent conserver une

proportion plus faible des dépôts en trésorerie donc elles pourront prêter plus, ce qui augmente la masse monétaire par le mécanisme de la création monétaire. (Et inversement)

- La Banque central, prêteuse en dernier ressort Cependant, en fin de journée, certaine banques ont des liquidités insuffisantes, elles empruntent donc à celles qui sont en excédent. Mais lorsque la demande globale de liquidités est supérieure à l’offre, les banques peuvent emprunter à la BC.

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L’effet « monnaie »

Supposons une BOC excédentaire : X>M. L’exportation nette fait entrer des devises. Les exportateurs qui les perçoivent les échangent contre des € -> M croît. Si MT augmente : Y augmente -> importations augmentent -> rééquilibre de la BOC. Si ML augmente -> i diminue -> I augmente -> Y augmente -> importations augmentent (+ sorties de capitaux).

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