Rééquilibrage de la balance des paiements courants
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On suppose : Y=C+I+G+(X-M) et C = a+cY et M = mY et Masse monétaire = MT + ML. Voyons les mécanismes qui rééquilibrent plus ou moins la balance.
On suppose : Y=C+I+G+(X-M) et C = a+cY et M = mY et Masse monétaire = MT + ML. Voyons les mécanismes qui rééquilibrent plus ou moins la balance.
maintenir une couverture or minimum et n’émettre des billets que dans des situations limitativement déterminés, pour être sûr que les billets ont toujours une valeur
Le bilan d’un BC ressemble au bilan de l’orfèvre. Le principe est que leur bilan passif (billets en circulation, dépôt des Bc) doivent correspondre à une certaine richesse (or, devises étrangères, bon d’Etat) ou bilan actif qu’elle détient. a. L’émission de billets
Actuellement, c’est la BCE qui décide de la quantité de billets en circulation, mais ce sont les BCN qui se chargent de les imprimer et de les distribuer. b. La politique monétaire Pour mettre en oeuvre une politique monétaire, les BC font varier la masse monétaire ou le taux d’intérêt, par l’open market ou le coefficient de trésorerie. Taux directeur.
- La fixation d’un coefficient de trésorerie obligatoire
Théorie de la parité des pouvoirs d’achat (PPA) : les taux de change reflètent le rapport des prix exprimés en deux monnaies pour acquérir un panier « standard » de biens de consommation.
Mais comment arriver à un panier vraiment identique ? Et comment faire abstraction des fluctuations actuelles entre € et $ ? Indice Big Mac : il mesure la parité du pouvoir d’achat en comparant le prix du Big Mac dans les pays.
Dépenses de R&D (produits plus compétitifs) ; niveau de qualification et de compétence.
1. Les fonctions principales des Banques centrales
Les banques ont repris le rôle de l’orfèvre, les lettres de change sont devenues des billets de banques. Le problème est que, si une banque faisait banqueroute, les billets qu’elle avait émis n’avaient plus de valeur. Pour y remédier, les banquiers confient l’émission de billets à la BC.
Evolution des coûts, surtout salariaux = au centre de la compétitivité-prix : le coût salarial par unité produite importe le plus. Le coût unitaire par unité produite inclut le coût salarial et la productivité du travail. L’ajustement de la c-p passe par l’ajustement de la croissance des coûts de production.
Elle se mesure entre autres par les capacités d’une économie à maintenir et accroître ses parts de marché.
Ils sont généralement exprimés en monnaie nationale : quantité de monnaie nationale nécessaire pour acquérir une unité de devise étrangère. Exprimé comme cela, c’est le taux à l’incertain. Exprimé comme le rapport entre la monnaie nationale et la devise étrangère, c’est le taux au certain. Les taux déterminent le prix en devise payé pour les M ; une monnaie s’apprécie (se déprécie) si son prix exprimé en monnaies étrangères augmente (diminue) -> si la monnaie s’apprécie, les M seront moins chères pour une même quantité (mais il y a diminution des exportations).
Taux de change effectif : indice obtenu en calculant l’appréciation (dépréciation) de la monnaie nationale par rapport aux différentes devises en pondérant par leur poids dans nos échanges. C’est un taux de change normal. Pour avoir le taux de change effectif réel : TCE nominal x (pi/pX).
Si le TCER augmente, la position concurrentielle se détériore puisque les prix à l’X augmentent.
Ils sont le ratio des prix à l’exportation sur les prix à l’importation. Il y a détérioration des TE quand la valeur de l’indice diminue. Une détérioration implique qu’il faille exporter plus pour importer une même quantité de biens, à solde commercial inchangé. En Belgique depuis 2001, les TE se sont dégradés.
Dépendent de : l’évolution des prix des partenaires commerciaux, du taux de change (prix exprimé en monnaie nationale = celui qui importe), panier des biens importés.