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monétaire ne dépend que des décisions de la Banque centrale, l’offre de monnaie est inélastique par rapport au taux d’intérêt.

Graph 66 – Equilibre entre l’offre de monnaie et la demande de monnaie La variation de la masse monétaire peut entraîner une augmentation du revenu national (voir processus note du prof).

- Si la masse monétaire augmente, le taux d’intérêt diminue

- Si le taux d’intérêt diminue, la demande d’investissement augmente

- Si la demande d’investissement augmente, la demande globale de biens et services augmente

- Si la demande globale augmente, le revenu national augmente et les prix ne bougent pas
La monnaie n’est pas neutre puisqu’elle a une influence sur la sphère réelle. C’est-à-dire qu’on peut mettre en place des politiques monétaires expansionnistes afin de stimuler l’économie et réduire le chômage.

Ils dépendent des prix intérieurs (auxquels s’appliquent les taux de change). C’est le prix payé par l’importateur qui détermine les quantités exportées. Les prix intérieurs dépendent de : la composition du panier d’X, l’évolution des coûts de production, le taux d’inflation. Le taux de change détermine le prix payé par l’importateur (les droits de douane aussi).

Le volume (la quantité) des exportations est surtout fonction de l’évolution de la demande mondiale et de sa structure : -A court terme, l’évolution des exportations dépend des fluctuations conjoncturelles. -A plus long terme, elle est influencée par l’orientation de la structure des échanges commerciaux mondiaux. -Le contenu technologique des biens exportés détermine le caractère progressif ou régressif d’un produit (faiblesse de l’UE et de la Belgique en R&D)

-L’élasticité prix de la demande mondiale détermine aussi les volumes échangés Pour les importations :

-Evolution du revenu intérieur (via propension marginale à importer, m) -Taux d’ouverture élevé : contenu en importations est élevé.

La dette extérieure n’est pas une composante distincte de la PEG mais elle peut être calculée en additionnant les composantes de la PEG autres que le capital social. Les pays à plus faible niveau de développement sont très endettés vis-à-vis du reste du monde.

Total des participations directes des résidents dans des entreprises non résidentes et total des participations directes des non résidents dans les entreprises résidentes. C’est un bon indicateur de l’étendue de l’internationalisation de la production (mondialisation). Dans les décisions de localisation, les facteurs suivants sont importants : PIB du pays, pays dont les économies sont proches, proximité géographique, faible coût de la main-d’oeuvre, intensité en R&D,…

(voir processus note du prof).Une augmentation de la masse monétaire (soit l’offre de monnaie) peut entraîner une augmentation du revenu national (à prix constant). En effet, puisque le volume de la massemonétaire ne dépend que des décisions de la Banque centrale, l’offre de monnaie est

Elle retrace l’ensemble des créances et engagements des résidents envers les non-résidents. Elle comptabilise des stocks. Elle nous indique si un pays est débiteur net vis-à-vis de R ou s’il est créditeur net. On y retrouve : investissements directs, de portefeuille, autres investissements, avoirs de réserve.

USA : 2009, déficit commercial colossal ; €zone = excédent de la balance commerciale. Les USA sont dans cette situation principalement à cause de la croissance des importations de biens et la faiblesse des exportations.

– Graph 65 : lorsque le revenu augmente, les transactions augmentent et donc la demande de
monnaie pour motif de transaction augmente

- La monnaie n’est pas neutre

Transferts reçus du reste du monde = crédit de la BOC ; cotisation de la Belgique au budget européen = débit de la BOC. Les subventions et dons des pouvoirs publics = rubrique « administrations publiques ». Quand un salarié d’origine étrangère, résidant en Belgique, réexpédie une partie de son salaire à sa famille restée au pays  débit.