Menu

Filtrer les éléments par date : juin 2014

Economie réelle : IS

Dans l’optique des dépenses : Y = C + G + I + (X-M) On suppose que l’action de l’Etat est assimilable à celle des ménages : G=0, dépenses de l’Etat dans C. On fait abstraction du commerce international -> Y = C + I On a défini l’épargne (S) comme la partie non consommée du revenu : le revenu se science en deux : Y = C + S

Et ainsi : I = S (bissectrice sur le graphique) Simplifions maintenant la fonction de consommation : C = cY. On obtient : S = (1-c).Y Dans le graphique, on remplace le taux d’intérêt nominal (i) par le taux réel (R). En mettant toutes les relations vues dans un graphique, on obtient le modèle IS5, composé de 4 quadrants : -QI : en dessous à gauche, c’est la relation entre I et S (c’est la bissectrice).

-QII : en haut à gauche, les investissements en fonction de R. -QIII : en dessous à droite, relation entre S et Y.

On part d’un certain I, qui nous donne un certain R (ordonnée du QIV). Ce I nous donne un S, qui lui nous donne un Y, abscisse du QIV -> on a le point A (R1, Y1). On refait la même manipulation pour obtenir un point

B. En joignant tous ces points, on obtient la courbe IS. Signification de A : équilibre sur le marché réel. La courbe IS descend de gauche à droite -> la production est fonction décroissante du taux d’intérêt.

En savoir plus...

BCE indépendante

nécessaire pour éviter les influences gouvernementales et maintenir l’objectif de lutte contre l’inflation. Mais : les agences indépendantes ne sont pas contrôlées par les instances élues démocratiquement + agences indépendantes mettent en oeuvre la politique des milieux dirigeants.

Instruments : contrôle de la croissance de M (M3), open market (opérations fermes, certificats de dette,…), facilités permanentes (prêteur en dernier ressort), réserves obligatoires…

En savoir plus...

Les missions

définir et mettre en oeuvre la politique monétaire de la zone euro, conduire les opérations de change, détenir et gérer les réserves officielles de change des Etats membres, promouvoir le bon fonctionnement des systèmes de paiement. Eurozone : 17 Etats membres.

En savoir plus...

La Banque centrale européenne et l’eurosystème

Organisation : le Système européen de BC (SEBC) se compose de la BCE et des banques centrales nationales des 27 membres. « Eurosystème » désigne la BCE et les BCN des 17 Etats ayant l’€. Objectif principal = maintenir la stabilité des prix. Il y a centralisation de la décision, décentralisation opérationnelle.

La BCE est dirigée par le Conseil des gouverneurs (arrête les orientations et prend les décisions nécessaires à l’accomplissement des missions, définit la politique monétaire de l’eurozone).

Il y a le directoire (président, vice-président et 4 autres membres ; met en oeuvre la politique monétaire, exerce les pouvoirs délégués par le Conseil). Enfin le Conseil général.

En savoir plus...

La politique monétaire

Pour la mettre en oeuvre, les BC font varier M ou les taux d’intérêt. Instruments : -Fixation d’un coefficient de trésorerie obligatoire -La BC est prêteuse en dernier ressort (elle peut influer sur les taux)

-L’open market (acheter ou vendre des bons du Trésor ou d’autres fonds publics existants)

-Gestion des réserves de change et régulation du marché des changes (les transactions faites avec les devises influent sur M) Les BC peuvent intervenir sur le marché des changes, une dévaluation peut rendre les B&S plus compétitifs.

-Banquier du Trésor (la BC peut prêter à l’Etat, en faisant fonctionner la « planche à billets » parfois)

En savoir plus...

L’émission des billets

Après la GMI, on supprime la convertibilité interne qui obligeait la BNB à échanger la monnaie métallique contre les billets qu’elle émettait. La monnaie métallique disparaît alors.

En savoir plus...

Les fonctions principales des Banques centrales

On a vu que l’on est passé de l’orfèvre aux banques commerciales aux BC : elles doivent maintenir une couverture or minimum (1/3 de la valeur des billets en circulation) et n’émettre des billets que dans des situations déterminées. La BNB a un gouverneur, présenté par la Banque et désigné par le gouvernement, qui assure la gestion quotidienne.

Le bilan : les billets en circulation doivent correspondre à une certaine richesse que détient la BC (principalement sous forme d’or, de devises étrangères, de bons d’Etat) : c’est l’actif du bilan. Le passif (« utilisation de la richesse ») est

En savoir plus...

T constant

Les deux modèles s’accordent pour dire qu’une augmentation de M entraîne une augmentation de la demande globale de B&S. Mais pour les keynésiens, cette dernière augmentation entraîne une augmentation de la production alors que chez les monétaristes, seuls les prix augmentent.

En savoir plus...

V constante

Modèle keynésien : monnaie = pour transactions et conserver liquidités : donc la monnaie pour liquidité ne circule pas et V(ML)=0. V(MT)=VT -> V dépend de l’importance relative des deux parties dans M. Et l’importance relative de ML et MT dépend du taux d’intérêt. Si M augmente et que V diminue, PT ne bouge pas ou peu. Modèle monétariste : monnaie uniquement pour la transaction donc il n’y a pas ce processus. V peut aussi évoluer à long terme à cause des progrès technologiques.

En savoir plus...
S'abonner à ce flux RSS

Besoin d’avis?

Demandez maintenant un examen gratuit et sans engagement de votre site web.
Nous faisons un examen élaboré, et nous effectuons un rapport SEO avec des conseils
pour l’amélioration, la trouvabilité et la conversion de votre site web.

Audit SEO