Menu

Filtrer les éléments par date : juin 2014

La sensibilité sectorielle à la conjoncture économique

a) Croissance économique et cycle conjoncturel

Le taux de croissance du PIB à prix constant est l’indicateur de la croissance économique, celle-ci n’est pas constante dans le temps.

Le cycle conjoncturel : est cette succession de période de croissance forte ou faible. On discerne 4 périodes : le creux conjoncturel, la reprise conjoncturelle, le pic conjoncturel et le ralentissement conjoncturel.

b) La récession et ses conséquences sur les différentes « valeurs ajoutées par branches »
Pro-cyclique : la valeur ajoutée varie en face avec le PIB
Ex : la construction, les services aux entreprises, les services financiers

Acyclique : la valeur ajoutée est indépendante de l’évolution du PIB

Ex : services de santés

Contra-cyclique : la valeur ajoutée varie de fonction contraire au PIB
Ex : les services publics et services aux personnes (souvent mais pas toujours)

c) Les reprises de 2000 et 2004

(Voir note du prof)

d) Les indicateurs des fluctuations conjoncturelles

Enquête mensuelle de conjoncture auprès de l’industrie manufacturière, car comme elle a un caractère très pro-cyclique, les prévisions d’activités des entreprise du secteur constituent un très bon indicateur de ce que sera l’évolution conjoncturelle.

e) Le OIB n Belgique et dans la zone euro

En savoir plus...

Structure de la production

L’optique de la production permet de se faire une idée de la structure économique d’un pays. Elle
comprend les trois secteurs :

  • Secteur primaire : agriculture, industries extrselecteds
  • Secteur secondaire : industries manufacturières, eau – gaz – électricité, construction
  • Secteur tertiaire : services aux entreprises, services aux particuliers, services financiers, services public et privées.
En savoir plus...

Le RNB et le PIB

Le PIB (Produit Intérieur Brut) : est la somme des valeurs ajoutées brutes de toutes les branches
économiques, c’est la production finale totale biens et services de l’économie nationale.

RNB (Revenu National Brut) :

« Net » signifie qu’on fait la différence entre les paiements versés par le reste du monde aux
résidents et les paiements versés par les résidents au reste du monde :

« Facteur » est l’abréviation de facteur de production, soit le facteur de production « travail » (L)
et le facteur de production « capital » (K).

« Paiement de » est synonyme de « revenu issu de ».

Soit :
Y : revenus
Y (L) : revenu du travail
Y (K) : revenus du capital
Y (R) -> un pays : revenus reçus de R
Y (un pays) -> R : revenus versés à R

En savoir plus...

Observations

La comptabilité national permet de rendre compte des principaux flux macro-économiques. Cependant différentes transactions, tel que la richesse des ménages, les stocks de biens existant, l’IDP, lui échappent.

Elle compare des évolutions dans le temps et l’espace mais ne distingue pas les causes. Elle ne calcule pas non plus les prestations non monétaires telles que le travail des ménagères, entretient jardin, de sa maison, etc. de plus, elle n’a pas de vision éthique des activités économiques. Enfin, les activité liées à l’écologie n’apparaissent pas dans les comptes nationaux.

En savoir plus...

Les trois optiques de la comptabilité nationale

L’activité économique d’un pays peut être ramenée à un circuit où :
- Des biens et services sont produits = optique de production
- Cette production engendre des revenus distribués à ceux qui participent à cette production = optique des revenus

- Ces revenus sont dépensés pour l’acquisition des biens et services produits = optique des dépenses

a) Optique de production

On ne comptabilise pas tous les biens et services produits, sinon on compte doubles voire triples. Donc pour éviter ces comptages doubles, on ne comptabilise que les « valeurs ajoutées » (V.A) de chaque secteur économique.

V.A = valeur de la production / Outputs – valeur de la consommation intermédiaires / Inputs

b) Optique des revenus

Les revenus sont la rémunération des facteurs de production. Cependant, les impôts directs versé à l’Etat constituent une partie du salaire et font donc partie du revenu national. Cependant, les allocations chômage constituent un transfert et non un revenu.

c) Optique des dépenses

Ici, on ne tient compte que des biens finals, c’est-à-dire ceux qui ne seront plus transformés dans l’économie. Les spécificités intrinsèques d’une marchandise ne déterminent pas son caractères « final » ou intermédiaire.

En savoir plus...

Les agents économiques de la comptabilité nationale

- Les ménages (H) :

Sont des acheteurs de biens finals, biens et services de consommation. Attention, s’ils font construire des maisons d’habitations /appartements, ils apparaissent comme des entreprises.

- Les entreprises (E) :

Vendent des biens et services à un prix qui couvre au moins le prix de revient. Au sein de ce secteur, on fait la distinction entre les entreprises non financières (sphère de la production et commerciale), les entreprises financières (sphère financière) et les institutions à but non lucratif au service des ménages (ASBL, etc.)

- L’Etat (G) :

Regroupe tous les services dont la fonction est de fournir des prestations d’intérêt général. Il fournit essentiellement des biens non marchands.

- Le reste du monde (R) :

Les transactions économiques entre le pays « d’habitation » et le reste du monde soit, entre résidents et non-résidents. Donc, les institutions internationales font toujours partie de R, en revanche les fonctionnaires de ces mêmes institutions sont inclus dans les résidents.

En savoir plus...

Utilisation des comptes nationaux

Permet de dégager l’évolution de ratios structurels, de comparer les pays au niveau international, de donner une photographie de la structure d’une entité économique au cours d’une année. Cependant, la comptabilité national permet de suivre l’évolution entre deux ratio mais pas donner une explication de l’influence qu’ils ont entre eux.

En savoir plus...

Définition et méthode

La comptabilité nationale présente sous forme quantitatives un tableau d’ensemble de l’économie d’un pays. Fondamentalement, elle a pour objet de comptabiliser les flux économiques au cours d’une période donnée et dans un espace donné.

En savoir plus...

La politique européenne de concurrence

Avec le traité de Rome de 1957, c’est la Commission qui se charge de l’application des règles de l’environnement concurrentiel et qui pénalisent les pratiques qui faussent la concurrence.

La collaboration entre entreprises concurrentes constitue une restriction de concurrence entre ces entreprises. Cependant, si c’est collaborations permettent de stimuler la recherche et le développement, de réaliser des économies d’échelles, de diminuer les coûts et les prix ou de rendre les entreprises plus compétitives, alors la Commission peut faire des exceptions, c’est à elle de peser les pours et les contres.

Art. 82 : Une entreprise dominante ne peut abuser de son « privilège ». Ainsi, interdire l’accès à une « partie substantielle du marché commun » peut être sanctionné. Exemple de l’entreprise maritime de ferryboats.

Art. 86 : les entreprises étatiques et monopolistiques, qui se justifie par l’équité, ne sont pas condamné par le traité de Rome. Mais, des restrictions de concurrence peuvent être admises lorsqu’elles sont nécessaires à la poursuite de l’intérêt général.

Les entreprises d’Etat ne jouissent pas d’une reconnaissance spécifique au sein de l’UE

Art. 87 : Les aides étatiques (subventions) sont incompatibles avec le marché commun.

Cependant sont considérés comme compatibles, les aides relatives au développement des régions moins favorisées, les aides sociales lors de la restructuration d’entreprises et les aides destinées à remédier aux dommages causés par des calamités naturelles.

En savoir plus...
S'abonner à ce flux RSS

Besoin d’avis?

Demandez maintenant un examen gratuit et sans engagement de votre site web.
Nous faisons un examen élaboré, et nous effectuons un rapport SEO avec des conseils
pour l’amélioration, la trouvabilité et la conversion de votre site web.

Audit SEO