Menu

Filtrer les éléments par date : juin 2014

Instruments de politique monétaire

Par les autorités monétaires : il y a la BC, l’indépendance des BC. Les actions sur les taux d’intérêt : à court terme ou à long terme, effet intérieur ou extérieur. On peut agir sur la liquidité, open-market, efficience,…

En savoir plus...

Objectifs contradictoires : stabilité des prix et plein emploi

Courbe de Phillips : corrélation inverse entre le taux d’accroissement des salaires nominaux et le taux de chômage. Quand l’offre de force de travail est excédentaire (chômage), le prix de la force de travail (salaire) aura tendance à se situer à un niveau bas. On a réinterprété la courbe de Phillips en remplaçant les salaires par les prix : en période de boom, les prix montent vite et l’emploi atteint son maximum.

Sur graphique, on suppose que quand les salaires n’augmentent que de 3%, ils ne créent pas d’inflation -> avec ce raisonnement, on transforme les objectifs « stabilité des prix » et « plein emploi » en objectifs antagonistes.

Avec une relation classique entre inflation et emploi, plus on se rapproche du plein-emploi, plus l’offre est inélastique et plus les pressions inflationnistes augmentent. Puis on atteint le plein-emploi -> la conjoncture se retourne, chômage conjoncturel apparaît.

Mais la nouvelle courbe est au dessus de la première : pendant le PE, les salaires ont augmenté et ces niveaux de rémunération se maintiennent indépendamment de la conjoncture.

En savoir plus...

Objectifs complémentaires : croissance et emploi

A partir de 1975, le chômage reste important même quand la croissance est forte. Dans l’OCDE, on a des pays sensibles : croissance économique suffisamment forte et durable pour avoir une incidence positive sur l’emploi, et des pays amorphes : croissance moins forte, influence sur l’emploi négligeable voire négative. On voit aussi qu’un redémarrage de la croissance a un effet positif mais décalé sur l’emploi. Dès que la croissance est négative ou proche de 0, la répercussion négative sur l’emploi est beaucoup plus rapide.

De plus, on ne peut pas isoler les sous-ensembles croissance et chômage de tous les autres éléments de l’environnement macroéconomique. Enfin, on peut déterminer pour différents pays un taux de croissance nécessaire à la stabilisation du chômage

-> On voit qu’une croissance négative ou proche de 0 est immédiatement destructive d’emploi. Une croissance positive est créatrice d’emploi SI elle atteint un certain seuil et qu’elle perdure un temps.

En savoir plus...

Economie réelle – IS

En économie réelle, on traite de I, de S, du taux d’intérêt, de consommation, et de revenu national.

Rappel : Maintenant, on suppose que :

- G = 0

- Les dépenses de l’Etat se retrouvent dans C

- On fait abstraction du commerce international, soit de X et M

- C = cY

Donc : Y = C + I et I = S (voir graphe 75) - Les investissements I sont fonction du taux d’intérêt R : plus R est + plus I est -

- La courbe IS ayant R pour ordonnée et Y pour abscisse correspond aux points d’équilibres sur le marché des biens et services, sur le marché réel. De plus, cette courbe est une fonction décroissante du taux d’intérêt.

En savoir plus...

Le carré magique

Emploi, prix, croissance, BOC : le carré réalise en même temps le plein emploi, la stabilité des prix, une forte croissance du PNB et l’équilibre de la BOC.

En savoir plus...

Politique de croissance et contraintes

Il y a relance quand la politique économique conjoncturelle tire l’économie vers le haut (deflationary gap). La relance doit tenir compte de contraintes : contrainte extérieure (balance des paiements courants positive ou négative), contrainte prix et contrainte budgétaire.

En savoir plus...

Croissance et équité

L’équité implique une meilleure répartition de Y ; elle implique aussi que certains perdent en termes absolus. Cependant la croissance ne garantit pas une plus grande équité.

En savoir plus...

La politique monétaire de la BCE

- Les objectifs de la politique monétaire

Traité de Maastricht attribue à la BCE : la stabilité des prix. Subsidiairement, la BCE doit soutenir les politiques économiques générales dans les Communauté.

- Les instruments de la politique monétaire

1° Contrôle de la croissance de la masse monétaire : M3

2° Open market

Considéré comme un instrument de choix pour jouer sur la liquidité du marché monétaire et le taux d’inflation, par la SEBC. Sur le marché monétaire, les valeurs traités sont à court terme.

· Opérations de cession temporaire

· Opérations fermés

· Emission de certificats de la BCE

· Opérations d’échanges de devises*reprise de liquidités en blanc

3° Facilités permanents

C’est un marché monétaire spécifique : le marché au jour le jour. Le SEBEC joue ici son rôle de prêteur en dernier ressort aux IFM soit par facilité de prêt marginal soit par facilité de dépôt. 4° Réserves obligatoires

Contribuent à faire apparaître ou accentuer un besoin structurel de refinancement, ce qui peut contribuer à améliorer la capacité d’intervenir efficacement comme pourvoyeur de liquidités. Fonctionnement : la BCN gèle une partie des liquidités des banques, donc elle les force au refinancement. A ce moment, la SEBC joue un rôle actif, ce qui renforce sa capacité à intervenir.

En savoir plus...

Définition1

Pour quantifier la croissance, on considère la croissance du PNB ou du PIB à prix constants. On peut aussi la considérer sous l’angle du bien-être matériel -> indicateur = PNB/hab.

En savoir plus...
S'abonner à ce flux RSS

Besoin d’avis?

Demandez maintenant un examen gratuit et sans engagement de votre site web.
Nous faisons un examen élaboré, et nous effectuons un rapport SEO avec des conseils
pour l’amélioration, la trouvabilité et la conversion de votre site web.

Audit SEO