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Filtrer les éléments par date : juin 2014

Croissance du revenu national

S’il y a croissance économique, l’entreprise va plutôt investir et les profits augmentent aussi plus vite. Les bénéfices croissent donc. On obtient la relation « accélérateur » : I = α.ΔY et α=MCOR, c’est le coefficient accélérateur (investissements qui découlent d’une croissance de l’éco = « induits »).

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Taux d’intérêt

Si l’entreprise doit emprunter, la rentabilité sera plombée par les intérêts à payer. Si elle ne doit pas emprunter, elle pourra placer et toucher des intérêts (l’investissement est inversement proportionnel au taux d’intérêt).

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Les déterminants de l’investissement

Progrès technique, concurrence et conflits sociaux L’application d’une nouvelle technique dans l’industrie = innovation. C’est la concurrence qui incite les entreprises à innover. Et si les revendications sociales sont importantes, l’entreprise va plutôt essayer de remplacer le facteur travail par du facteur capital (et donc biens plus performants).

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La composition de la FBCF

Elle est assurée par les entreprises, les ISBLSM, les ménages et les administrations publiques. Particuliers : investissements en logement. Entreprises : accumulation de stock de capital. Administrations publiques : investissements en équipements publics.

Les investissements ont un comportement assez volatile et ne correspondent pas toujours aux fluctuations conjoncturelles. Les investissements bruts et nets sont repris dans cette équation : IB = IN + A.

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Consommation finale des administrations publiques et comptes

Il ne faut pas confondre consommation finale des administrations publiques et dépenses des administrations publiques : la consommation finale est une partie des dépenses publiques. Les recettes des administrations recouvrent : recettes fiscales et parafiscales, revenus de la propriété, ventes de biens et services produits, transferts en provenance des autres secteurs. Les dépenses recouvrent : dépenses courantes, dépenses en capital, charges d’intérêt.

Effet d’éviction : la demande du public évince celle du privé, ce qui est mauvais pour les investissements (et qui arrive en cas de gros déficit).

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Evolution et structure de la consommation finale des ménages (1970-2004)

On voit qu’elle a suivi une évolution comparable à celle du PIB mais elle est moins volatile (les évolutions sont moins extrêmes) tout en restant sensible aux cycles conjoncturels.

Pour la structure, afin d’obtenir la consommation effective des ménages, on ajoute les consommations collectives (santé, enseignement, dont le financement est socialisé par l’impôt). On voit que les dépenses collectives de santé ont augmenté en dix ans.

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Consommation, revenu et patrimoine du ménage

Ando et Modigliani ont développé une fonction de consommation qui postule que les ménages désirent maintenant un niveau de consommation relativement stable au long de leur vie : c’est la théorie du cycle de la vie. Quand ils entrent sur le marché du travail, leur revenu disponible augmente rapidement mais ils épargnent beaucoup pour financer la consommation des vieux jours. On fait l’hypothèse que le ménage désépargne à partir de la retraite en conservant un niveau de consommation constant et en constituant un patrimoine (Kh). On a : C = a.Kh + b.Yv Avec Kh le capital des ménages, Yv le revenu du cycle de vie. Mais il y a différentes critiques :

-Le comportement des ménages envers l’épargne est sûrement fonction du système de sécurité sociale (en Belgique, il y a un taux d’épargne élevé).

-Est-ce que les ménages entament leur épargne à l’âge de la retraite ? (En Belgique, plutôt vers 75 ans) -Aucun des deux modèles ci-dessus ne prend en compte les crédits à la consommation et les crédits hypothécaires qui financent les achats de logements.

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Consommation et revenu

Keynes écrit : « en moyenne et la plupart du temps les hommes tendent à accroître leur consommation à mesure que leur revenu croît. C étant le montant de la consommation et Y celui du revenu, C est du même signe que Y mais d’une grandeur moindre »

Dans cette fonction de consommation, la consommation privée des ménages dépend du revenu national. Au final3, on obtient : C = a + cY, a étant la consommation de survie et c la propension marginale à consommer. Mais la fonction de consommation keynésienne n’est pas universelle. Même dans les pays où le niveau de vie est élevé, d’autres éléments que le revenu influencent la consommation privée, comme la croissance économique ou une hausse des taux d’intérêt.

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Chapitre X – L’optique des dépenses

Les cinq unités institutionnelles interviennent dans cette optique. Dans la consommation finale on retrouve : -La consommation finale des ménages (dépenses pour B&S)

-La consommation finale des ISBLSM

-La consommation finale des administrations publiques (services publics prestent des services qui sont considérés comme une consommation finale) On l’appelle « G » (gouvernement). Dans la formation brute de capital on retrouve :

-La formation brute de capital fixe : investissements bruts de l’économie

-Les variations des stocks (production invendue ou diminution des stocks) Consommation finale + formation brute de capital = dépenses nationales.

Une autre part de la production de B&S est destinée aux exportations. En les ajoutant aux dépenses nationales, on a le total des dépenses finales. Et enfin, en retirant les importations, on obtient le PIB.

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